Samedi 26 mai, 11h, départ en direction des Météores, avec Papa, Maman, Thomas (français), Ingrid (française) et moi dans une magnifique Hyundaï Atos... hum, un peu serrés à l'arrière, mais on était prévenu. Bon, après l'état général des routes en Grèce, les amortisseurs quelque peu usés de la voiture, c'est une autre histoire... Au programme du samedi : rejoindre Metsovo, village à une cinquantaine de km des Météores, afin d'y passer la nuit. Escale à Ioannina, cité ayant abrité les pachas ottomans dès le XVe siècle, et dont il reste plusieurs mosquées, ainsi que la citadelle du XIIIe siècle. Avec en prime un joli lac bordant la ville ; une pause sympathique donc... sauf qu'en repartant, nous nous sommes mis à voir de plus en plus de nuages, et de plus en plus sombres... On arrive à Metsovo en fin d'après-midi, sous des trombes de pluie. Metsovo, village de montagne typique, à 1160m d'altitude, avec pour spécialités le miel et le fromage de brebis (miam miam !), et puis des rues pavées, pour que ça soit encore plus rigolo sous la pluie ! Nous trouvons un petit hôtel rococo, où papa et maman dormirent dans une véritable suite ! Etonnant pour nous : on aperçoit sur les sommets voisins des neiges éternelles. La Grèce avec de la pluie et de la neige, au moins on ne fait pas dans les clichés. Dimanche matin, le soleil illumine toute la vallée, très belle, et nous nous estimons chanceux de pouvoir partir aux Météores sous le soleil. Voici la vue depuis Metsovo :
Nous remontons en voiture, direction les monastères des Météores. Petit à petit, nous nous rapprochons des immenses rochers formés par l'érosion, et petit à petit, nous nous sentons de plus en plus petits devant la beauté des paysages. Différents monastères othodoxes se perchent aux sommets de différents rochers. Les premiers datent du XIVe siècle et furent construits afin d'échapper aux Turcs et aux Albanais. Nous en visitons trois différents : le Grand Météore, Varlaam et Agios Stefanos (Saint Stéphane). A chaque fois, avec ma mère et Ingrid, nous revêtons de splendides pareos en guise de jupe, afin de porter une tenue décente... surtout avec un pantalon en dessous, c'est la grande classe ! Avec Ingrid, nous avons bien failli rester dans un des monastères, nous faisant littéralement agresser par un gardien de musée parce qu'on prenait des photos ; nous n'avions tout simplement pas vu le panneau interdisant les photos, car il était mal situé. Bref, petite frayeur, rien de bien grave. Voici deux des nombreux tableaux de la nature que nous avons pu admirer ce dimanche 27 mai 2007 :
Retour en voiture, arrivée dimanche soir, crevés, plus de dos, mais des images plein la tête, et les appareils photos ! C'était génial !
7 commentaires:
avec tout ça, ça serait quand même con de ne pas revenir bien bronzée...
difficile de bronzer sous des parapluies, et pourtant, ce qui dépassait en a pris un peu. week end super avec ces jeunes qui attendait toujours les vieux.Cath
Re moi : Thérèse a oublié de parler des chèvres qui traversent ou se reposent sur la route quand bon leur semble. Au daible les voitures.Cath
maman tu as des problèmes d'accord : "ces jeunes qui attendaient...", ou bien "semblent" (sujet=des chèvres) !
Pour "attendaient", je suis d'accord, mais pour "semble", tu devrais vérifier avant de parler... Dans 'quand bon leur semble', les chèvres sont exprimées par 'leur'. Ici le verbe sembler est employé dans une tournure impersonnelle, donc le sujet en gros est 3ème personne du singulier. En gros c'est comme "il faut que...", mais moi, je ne peux jamais falloir directement quelque chose.. Bref, vive le français et vive(nt???) les erreurs d'orthographe !!!
ah oui, merci maîtresse !
cé super cé vacanses en graisse...euh jeux ve dire ce staje... ce la te lècera deux bons sous venir pour la suite, come ton clip ke je vi ain de regardé à nouvo...sa va mes trece ? bizzz. NB : maman, qu'est ce que tu fais à 2 h du matin sur l'ordi ???
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